Les trois histoires qui composent "Tout ça pour ça" présentent un paysage intérieur aussi personnel qu'universel ; c'est sa plus grande vertu.

Dans "west End", José Morella reconstruit l'histoire de son grand-père Nicomedes, un homme affligé d'une maladie mentale à une époque où les traitements souffraient de l'aveuglement propre à l'époque franquiste.

"La Moneda, 11 septembre" est avant tout une somme de témoignages.

Tous les jeudis, trois amis se réunissent dans un bar. L'un est réalisateur de ciné et semble brouiller constamment la limite qui sépare la réalité de l'imaginaire.

Le six août 2007, un homme est parti de Barcelone et s'est rendu dans la montagne pour mourir seul.